Madame la Rectrice,
Dans la dégradation continue des conditions d’exercice et d’existence des TZR, un nouveau seuil a été franchi en 2014-2015. La période récente a non seulement vu s’aggraver les pratiques déjà existantes, mais a aussi été marquée par l’apparition de nouvelles dérives. Il doit y être mis fin.
Certifiés, agrégés, CPE ou CO-Psy, les TZR sont des agents de l’État dotés des mêmes droits et devoirs que les autres, et rien n’autorise le rectorat à les faire vivre sous un régime d’exception, que ce soit dans leur droit à mobilité, dans leur droit à indemnités, ou dans leur droit à la représentation paritaire.
Nous exigeons :
- Des procédures d’affectation à l’année qui prennent en compte les barèmes et préférences de chacun dans un cadre paritaire renforcé, avec des instances début juillet et fin août.
- Des procédures d’affectation en suppléance transparentes et équitables.
- Des frais de déplacement remboursés conformément à la réglementation, tant sur les périodes que sur les distances prises en compte ; l’application quand cela est justifié du taux de remboursement lié à l’utilisation du véhicule personnel.
- De véritables barèmes pour les affectations à l’année, incluant notamment les bonifications familiales.
- Une meilleure prise en compte pour le mouvement intra-académique de la situation de TZR.